Quel royaume, de Nohr ou d'Hoshido, gagnera la guerre qui les oppose ? Seuls vos choix sauront résoudre le conflit.
 
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Right in the Kokoro ♥

Kokoro Daimyo
Messages : 61
Points de RP : 288
Date d'inscription : 20/06/2017
Race : Humain
Métier : Daimyo
Terres : Province de Shirasagi
Statistiques :
- Niveau : B
- Maîtrise Épée : S
- Maîtrise Lance : E
- Maîtrise Arc : E
- Expertise Épée
- Expertise Lance
- Expertise Arc
- Lord
Daimyo





Kokoro Daimyo
Daimyo
Mar 20 Juin - 21:04

▬ ft. Namazuo Toushirou de Touken Ranbu

Métier : Daimyo du territoire de Shirasagi
Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle

Carnation : Pâle
Taille : Un mètre soixante dix
Corpulence : Svelte

Cheveux : Fluorine violette aux teintes ébènes
Yeux : Améthyste
Signe(s) distinctif(s) : //

Autre : Allure quelque peu androgyne



Kokoro
Daimyo • Masculin • 20 ans • Grand Lord d'Hoshido • Hoshidien
Questionnaire• Que pensez-vous de la guerre opposant Nohr et Hoshido ?
La guerre hein... Nohr a enfin fait le premier pas. Avec ça, impossible de rester docile. Pour nous autres Hoshidiens, seule l'offensive en retour nous est permis. Autrement dit, c'est enfin l'occasion d'en finir une bonne fois pour toute avec la nation de Nohr. M'enfin bon, une fois cette guerre terminée, je viendrais sûrement à m'ennuyer. Peut-être devrais-je profiter davantage de ces temps d'actions... ?
• Que pensez-vous des Laguz (Hommes-bêtes métamorphes) ?
Pas grand-choses. Du moment qu'ils se tiennent tranquille, je n'aurais aucun reproche à leur faire.
• Pensez-vous que les Dragons existent ?
J'en sais rien. Si jamais j'en vois un, je saurais qu'ils existent.
• Croyez-vous que les familles royales sont les descendants des dragons ?
J'en sais rien... L'empereur est l'empereur. Le roi est le roi. Je ne vais pas chercher plus loin.
• Êtes-vous combattant ?
Bien évidemment. Je ne vais me priver du plaisir de me battre.
• Quel rôle pensez vous pouvoir jouer en ce temps de guerre ?
Etant donné l'emplacement de ma province, je pense que je serai en quelque sorte un bouclier de dernier recours... Mais je ferai tout pour être la lance qui mettra à genou le corps Nohrien.
• Êtes vous inquiets des conséquences que peuvent engendrer les batailles ?
Pas vraiment. M'enfin, c'est toujours angoissant lorsque les batailles se passent à côtés des villages. Je n'aime pas trop mettre en danger des vies innocentes. Je suis peut-être un amoureux de la guerre, mais je préfère minimiser les pertes civiles.
StatistiquesArchétype : Guerrier
Spécialité : Épéiste

- Niveau : B
- Maîtrise Épée : S
- Maîtrise Lance : E
- Maîtrise Arc : E
- Expertise Épée
- Expertise Lance
- Expertise Arc
- Lord


Achats :

- Niveau D -> B : 4 Pts
- Maîtrise Épée B -> S : 2 Pts
- Maîtrise Lance E + Expertise Lance : 1 Pt
- Maîtrise Arc E + Expertise Arc : 1 Pt
- Option Autre ; Lord : 2 Pts

Points de base : 7
Points restants : 3
Points utilisés : 17 / 20
Moralité

« Un cœur d’or se révèle d’un masque de vertu, mais le noir du crépuscule se cache derrière une illusion du cœur. »

En premier temps, nul besoin d’affirmer qu’un Daimyo se doit de faire bonne figure. Notre cher ami n’oublie en rien cette ultime règle, l’imprégnant même dans sa façon d’être. En l’observant un tant soit peu, il est aisé de percevoir ce sourire constant sur son visage. Cette affreuse placidité subsiste malgré les mauvaises situations et les drames, non pas par manque de monstruosité, mais justement par ingéniosité. Il n’est guère dépourvu de sentiments, au contraire. Il s’efforce uniquement à les cacher du mieux possible, même s’il reconnaît une difficulté consternante au vu des afflux d’émotions pouvant couler en lui. D’une certaine façon, il joue les insensibles afin de ne pas troubler la quiétude d’autrui, afin de garder son image intacte.

En tant que gérant d’une province, il est facile de le définir en tant que bon protecteur. Ceci étant, loin de lui l’idée de coller quiconque pour le protéger. Cette attitude l’a plutôt rendu solitaire, à l’inverse de ce que l’on pourrait croire. S’il semble aimable de figure, il n’est pas du genre à quémander de l’aide pour une tâche.

Malgré cette aspect détaché, il refuse d’être réellement seul et en est même faiblement effrayé en son for intérieur. Combattant cette frayeur du mieux possible, il réussit à développer une attache incorruptible pour la justice, l’origine propre de sa mentalité. Ainsi, il ne refuse aucunement l’appel du devoir, proposant même son aide volontairement. Même s’il affirme constamment qu’il ne cherche aucun retour à ses agissements, il espère recevoir un symbole de gratitude de la part de ceux qu’il a pu aider. Celui-ci pourrait se manifester par le biais d’une modique somme, ou même d’une simple expression de reconnaissance, cela rassurerait le jeune homme en le faisant oublier cette peur absurde.

Même s’il peut se montrer distant pour protéger, il n’en est néanmoins pas froid dans ses propos. De manière très naturelle, il converse avec chacun sans perdre un certain respect omniprésent envers eux. Ceci dit, de parti noble, le jeune emploie un langage très courtois, autant pour ses ennemis que ses potentiels amis proches ou camarades. Son parlé se démontre être à la fois poétique et respectueux envers quiconque. En toute évidence, il développa une nature serviable singulièrement dense pour les demoiselles, sans pour autant cacher un but indécent.

Toutefois, bien que sa noblesse lui oblige presque de se montrer gracieux, autant dans les mots qu’il emploie que dans ses gestes, il ne se retient en rien de dire ce qu’il lui plaît. Cet autre trait de caractère pouvant résumer son attitude n’est autre que ce comportement quelque peu libertin. Sans aucun doute se montre-t-il très loyal, mais loin de lui de suivre à la lettre les ordres sans proposer ses propres idées. Ainsi, s’est développé en parallèle une nature relâchée.

Néanmoins, peu doute de sa capacité de dirigeant. Si l’aura qui l’entoure joue sur la perception que chacun pourrait avoir sur lui, s’ajoute à cela une éloquence remarquable qui s’épanouit lors de ses moments de sérieux. Vivre dans le milieu aisé lors de sa jeunesse lui permit d’acquérir cette prestation naturelle si distincte à en douter de sa sincérité.

Nonobstant, se mêle une certaine puérilité dans ses propos. Non pas que ses dires sont des plus simplets, mais sa franchise à toute épreuve ajoute une difficulté supplémentaire à cause de son talent à révéler ses pensées en toute innocence. Il lui est quasiment impossible de mentir, même s’il arrive sans problème à cacher la vérité.

Ceci étant, notre guerrier possède des défauts majeurs pouvant le nuire. Kokoro semble être d’une forte bienveillance de surface, mais en son for intérieur, de nombreux principes obscurs logent sans trop se manifester. S’il était possible de tout regrouper, il serait certain d’admettre que sa passion pour la guerre et le combat relèverait presque de la perversité. Son amour pour cela est si fort qu’il serait pratiquement prêt à trafiquer en secret certaines batailles pour faire durer la grande lutte.

Cependant, cette personnalité malsaine ne pousse pas autant afin de faire parler d’elle, restant enfouie à l’intérieur du pauvre homme, même si en vérité, cela fait partie intégrante de lui. Le sachant parfaitement, il cherche juste à faire abstraction de cette douloureuse réalité pour ne faire régner que sa soi-disant gentillesse.

Histoire

« Debout. Ne me dis pas que c’est déjà fini ? »

L’ardeur qui me faisait tenir sur mes jambes s’estompa brusquement, assignant une faiblesse certaine au travers de mon corps. Mes genoux heurtèrent le sol sauvagement, sans que mon visage ne change d’aspect, sans que mes pensées ne s’envolent vers d’autres idées. L’attention que je portais gardait en vue le regard braisé de mon enseignant, alors que mon criait fatigue. Mon bras gauche, doucement, glissa le long de mon corps afin que la paume de ma main vint s’appuyer sur le sol. De nombreuses gouttes de sueurs dégoulinaient tout au long de ma peau. Utilisant le dessus de mon poignet dextre pour essuyer quelques perles cristallines sur mon front, je forçais sur l’autre afin d’avoir un appui stable pour pouvoir me relever. Serrant davantage le manche de mon sabre d’entraînement par la suite, je vins à répondre à mon interlocuteur.

« Je t’ai dis que j’lui ai pas fait des avances !!! »


Rassemblant la totalité de mon énergie, je fonçais alors sur ma cible avec pour but de le désarmer. Malgré mon bel élan, mon expertise au maniement de l’épée était loin de suffire pour effectuer une telle action face à cet adversaire. D’un simple mouvement, il m’avait été possible de me voir complètement déjoué, en plus de recevoir un coup dans les côtes à cause de cette faible prestation. Encaissant la riposte, je ne renonçai guère à atteindre mon maître d’arme. Je savais bien que mes compétences étaient encore à parfaire. Je savais que je ne pouvais le rivaliser totalement… Pourtant, quelque  part au fond de moi, je ne pouvais me résoudre à abandonner. Sans doute était-ce la puérilité qui m’empreignait qui me faisait agir, ou encore cette étrange fierté qui m’animait, mais je ne pouvais que continuer à me battre.

Il ne fallut que quelques heures supplémentaire pour que je ne puisse plus bouger de fatigue. Étalé sur le sol, il m’était uniquement possible de réguler ma respiration qui s’était troublée peu avant. Bien que je ne voyais aucune différence par rapport à la journée d’hier, je pouvais tout de même constater une nette évolution entre le début du mois et cette fin de soirée. Bien que je ne vainquais toujours pas mon père, je me rapprochais de son niveau petit à petit. Rien que de savoir qu’il m’était possible de lui tenir tête un certain temps arrivait à me faire sourire. Toutefois, même si un certain plaisir se découlait de ces constants affronts avec mon paternel, je ne pouvais pleinement affirmer aimer cela, surtout quand il avait pour idée de me punir pour un mal que je n’avais pas commis, comme toujours.

« Donc, tu ne lui faisais pas des avances. Quoi donc alors ? Pourquoi n’étais-tu pas en train de suivre les cours de ton cher professeur ? Pourquoi étais-tu aux côtés d’une jeune demoiselle à la place ? »

En effet. L’entraînement de ce jour n’en était guère réellement un. Même si je devais véritablement participer à un exercice physique à la base, je m’étais retrouvé à m’éloigner un peu de mon apprentissage de guerrier afin de souffler. Et, à tout hasard, il se trouvait qu’une miss avait besoin d’aide. Je ne pouvais donc pas lui tourner le dos. Je fus retrouvé peu après, et mon père s’était dit qu’il était bon de me sévir une nouvelle fois. Il trouvait toujours le temps pour cela.

« Je faisais que l’aider, je pensais vraiment pas à autre chose. C’était pas toi qui me disait qu’il fallait que j’aide les demoiselles le plus souvent ? »


En dehors de la formation à l’épée, se trouvait aussi un apprentissage moral. Mon père m’apprenait tout ce qu’il savait, ainsi que tout ce qu’il souhaitait, afin que je puisse le succéder en toute tranquillité une fois qu’il ne sera plus. Ainsi, j’étais dans un cycle infernal d’études et d’entraînements afin que mon image corresponde bien mieux à ce que le Daimyo du moment avait en tête. Père me voulait si noble, si pur et si fort qu’il en oubliait presque ma très forte attache à la liberté. Il travaillait si dur pour me façonner de cette manière que je ne pouvais lui refuser ouvertement. Après tout, malgré les difficultés, malgré les douleurs… J’aimais bien ces moments que je passais avec lui.

« Oh… ? Tu ne faisais qu’aider hein ? Alors, son doux sourire et son regard qu’elle te lançait n’avait rieeeen à voir avec tes agissements hein ?


- P-puisque je te dis que n’ai rien fait !

- Demain, on changera de type d’entraînement. »

Je le sentais mal. Ce tapage était-il un simple prétexte pour avancer dans l’éducation ou bien… ? Quoi qu’il en soit, j’étais toujours sur le parterre, incapable de me relever, tandis que mon stupide Daimyo de paternel tournait son dos à moi pour partir en direction de la maison, sans dire un mot supplémentaire.

« P-père ? T-tu vas vraiment me laisser là toute la nuit ? … J’ai compris ! Désolé ! J’ai mal fait ! Ramène moi aussi ! Fait chier… »

Dans un ultime effort, je réussis à me redresser afin de pouvoir rentrer à mon tour, titubant tout de même le long du petit trajet.

Sans étonnement, mon corps gardait quelques séquelles du combat de la veille, laissant des courbatures sur la totalité de ma stature. Toutefois, l’habitude faisait que la gêne n’était pas aussi grande qu’elle ne devrait l’être. Ainsi, je pouvais tolérer une nouvelle séance de torture. Père n’avait pas l’air de vouloir commencer dès le début du jour, mais comme il l’avait annoncé, il avait sans aucun doute préparé quelque chose pour moi.

Cependant, alors que je patientais calmement avec impatience son arrivée, l’ennui commençait à me frapper dangereusement. Je savais déjà que cette routine était ancrée en moi, mais j’ignorais encore que je portais une affection bien plus particulière. A force de répéter encore et encore ces combats de haut niveau, je ne pouvais que tomber sous le charme de la guerre et des affronts perpétuels. Un certain manque s’installait en mon être pendant que ce sadique professeur se faisait attendre. En temps normal, j’en aurais profité pour m’évader un peu de ce cycle diabolique, mais ce jour-là devait signer la rupture de cette pratique habituelle pour en venir à une étape avancée. Cela avait à la fois attisé ma curiosité et éveillé mon excitation pour l’action.

Et malgré cela, rien. Qu’espérais-je réellement ? De l’espace ? Que l’on me laisse tranquille ? Ou bien… Quoi qu’il en soit, il m’était difficile d’exprimer toute la déception qui m’accablait alors que ce fut mon premier véritable jour de repos depuis un très long moment. Étrangement, j’avais l’impression de guère entrevoir les prémices du lendemain, peu importe combien de temps j’attendais. C’était complètement idiot, ce genre de sensation…

Le matin suivant, je portais une parfaite condition physique. Je pensais solliciter mon père de moi-même, mais je me rappelai encore de cette malheureuse journée sans que rien ne se produise. De fait, sans attendre aucun surveillant, je me rendis à la caserne des soldats afin d’observer de plus près leur entraînement, espérant apprendre sur eux. Je n’avais jamais pu me tenir à leurs côtés étant donné que je respectais un ordre de vie strict, mon père me donnant une formation privée en compagnie d’un autre maître des lames. Si je pensais que ces guerriers avaient quelque chose de particulier, je m’étais en quelque sorte trompé. Évidemment, ils n’étaient en rien faibles. Néanmoins, même moi qui me trouvais encore comme quelqu’un qui se doit de progresser monstrueusement pouvais percevoir leurs défauts.Alors qu’à la base, je voulais apprendre d’eux… J’avais fini par leur apprendre ce que je savais.

« C’est ici que tu te trouves… Je te cherchais. Aujourd’hui, tu vas rejoindre le groupe qui sera en première ligne. Tu vas participer à ta première véritable bataille, soit prêt. »


Une bataille… ? Mon cœur avait réagit à cette décision. Même si je ne savais pas ce qu’était un vrai choc, il en était réjoui. Ce fut donc avec un large sourire que j’acceptai cette mission.

Il nous fallut plusieurs jours afin d’atteindre les fameux lieux emplies d’animosité. Bien que ce n’était qu’un conflit à petite échelle, je sentais déjà mon impulsivité prendre le dessus sur mon corps. Cependant, bien heureusement, mon esprit gardait le contrôle, respectant les consignes à la lettre. Non pas que je me trouvais là en tant que spectateur, mais je n’étais point pour autant le maître des armées. J’étais là en tant que simple soldat, bien que j’étais aussi là pour apprendre. Un seul mot d’ordre pour moi de la part de mon paternel : Ne pas mourir.

__________

« Tu es rentré. Qu’en as-tu pensé ? »


Rares étaient les fois où mon visage représentait un sérieux digne d’un héritiers. Le paysage que j’avais perçu, ces sensations qui parcouraient l’ensemble de mes fibres, jamais je ne pourrais oublier un tel spectacle. C’était la première fois de ma vie que je ressentais un tel frisson. Comme braise et flamme, l’ardeur que me créa ce heurt ne se perdait que pour animer un désir noir. J’avais pu contempler sur place la vision que pouvait avoir un fantassin… Quel en était-il pour un dirigeant ? Que pourrais-je voir si jamais je succédais véritablement à mon père ? J’étais à la fois effrayé et excité. D’un côté, je n’aurais jamais cru autant aimer la guerre, cela en était effrayant. Cependant, je ne pouvais non plus me contenir. Je voulais me battre. Encore. Encore… C’était étrange. Beaucoup trop.

« C’était du sérieux. J’ai compris… Enfin. Je vais vraiment le suivre, ce chemin.


- Je savais que tu finirais par comprendre, après tout, je savais déjà que tu étais comme moi. La guerre est un médicament… Voire même une drogue. Mais, je t’apprendrais à restreindre tes ardeurs et à agir en leader. Tu as encore beaucoup à apprendre…

- Je serai prêt à tout endurer… Si tu me laisses un jour de repos par semaine. Et que je puisse me promener où je souhaite. Et rencontrer qui je veux. Et jouer avec n’importe qui. Et ce, y compris des demoiselles. Et…

- Mmpf. Dimanche. »

__________

« Père… Pourquoi donc maladie a-t-elle eu raison de vous ? Vous qui étiez si fort et si respecté… J’ai encore tant à apprendre. Je ne suis prêt à prendre votre place… Même si mon âme glapit de plaisir, mon cœur se porte toujours vers vous. Je ne suis guère assez mûr pour vous remplacer. Je ne suis sans aucun doute une pâle substitution… Toutefois, je porte vos ambitions en mon être. Puisque je le dois, je grandirais encore pour que votre succession soit d’une pure brillance. Moi, Kokoro, nouveau Daimyo de la province de Shirasagi mènera à bien votre dessein. Même si chagrin prône toujours sur nos terres, ce sera sur une terre d’un soleil nouveau que le sourire resplendira jusqu’aux cieux, jusqu’à vous. Que paix soit accordé à votre âme… »

Derrière le Masque

Pseudo Utilisé sur les Forums (PUF) : Lukifeira / Shaporo
Âge : 19 ans
Sexe : Masculin
Comment avez-vous connu le forum ? D'avant sa création *toussote*
Qu'en pensez vous ? *toussote* Mmh ? Ah bah, héhé...


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Maître du Jeu
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Terres : Partout et nul part à la fois
Créateur du Monde





Maître du Jeu
Créateur du Monde
Dim 25 Juin - 12:31
Tu es Validé !

Félicitations, tu es validé !

Un bien sympathique Daimyo androgyne. Ta place t'es réservée. Concernant ton post, voilà une information au sujet de la partage de la zone, l'autre daimyo peut être :

- Un homme allié au tien avec qui tu partages les responsabilités et les décisions.
- Une femme alliée au tien avec qui tu partages les responsabilités et les décisions.
- Une femme mariée au tien. [Même si c'est un cas de mariage arrangé, dans le cas de mariage, il le sera donc au moment où un membre souhaitera prendre la place du second daimyo.]

Pour cela je t'invite à nous mp ton choix de préférence que nous l'ajoutions à la liste des posts vacants.

Ton avatar, ta classe, ton métier et ta race ont été automatiquement recensés. Nous te conseillons d'aller te rendre dans le sous-forum des demandes afin de trouver un rp à faire. Il est aussi conseillé de poster une fiche de relation.

Bon rp sur Fire Emblem Fates : Faith !


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